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A la recherche de jeunes talents, le Paris Saint-Germain suivrait notamment le défenseur du FC Porto Eliaquim Mangala (22 ans). L'intéressé ne cache pas que le club de la capitale l'a toujours intéressé mais ne fait pas d'un départ une priorité.

"J'ai des objectifs, je peux très bien les remplir avec le FC Porto. Paris c'est chez moi et le PSG c'est un club particulier mais comme je l'ai dit, je suis sous contrat", a-t-il indiqué au cours de l'émission Téléfoot.

Mangala a été appelé en équipe de France pour affronter l'Uruguay et le Brésil les 5 et 9 juin prochains.

PARIS (Reuters) - Laurent Fabius a plaidé dimanche pour "une unicité de commandement et d'expression" des ministères économiques Bercy.

Invité du Grand Rendez-vous Europe 1/i>Télé/Le Parisien-Aujourd'hui en France, le ministre des Affaires étrangères a indiqué qu'il n'avait pas voulu mettre en cause la compétence des titulaires des portefeuilles économiques quand il a déclaré le mois dernier que Bercy avait besoin d'un "patron" et d'une coordination plus forte.

"Mon idée, qui n'a pas changé, est qu'il faut une unicité la fois de commandement et d'expression. Ce n'est pas par rapport tel ou tel", a-t-il dit.

"Je maintiens qu'il faut une unité d'expression et d'impulsion et je trouve que depuis quelques semaines, peut-être après l'annonce qu'il y aurait peut-être un remaniement, il y a moins de 'couacs'", a ajouté Laurent Fabius.

François Hollande a écarté le 16 mai l'hypothèse d'un remaniement imminent du gouvernement après avoir déclaré l'hebdomadaire Paris Match qu'un tel remaniement arriverait "en son temps".

Le gouvernement de Jean-Marc Ayrault compte sept ministres en charge de portefeuilles économiques, les deux principaux étant Pierre Moscovici (Economie et finances) et Arnaud Montebourg (Redressement productif), qui peinent masquer leurs divisions sur certains dossiers.

Interrogé sur sa propre situation, Laurent Fabius, qui fut Premier ministre de François Mitterrand en 1984-1986 puis ministre de l'Economie dans le gouvernement de Lionel Jospin entre 2000 et 2002, a indiqué que les Affaires étrangères étaient "le seul portefeuille que je pouvais accepter".

Yann Le Guernigou, édité par Hélène Duvigneau

ÉCOUTEZ. Le philosophe Luc Ferry investit chaque jeudi le théâtre des Mathurins. Cette semaine : "Philosophie du temps présent : déconstruction, mondialisation, amour".

Sa série "Sagesses d'hier et d'aujourd'hui" (Le Point, Le Figaro) cherche rendre intelligibles pour le plus large public les grands moments de la philosophie occidentale et rencontre un vaste succès en kiosque. Depuis le 21 mars, Luc Ferry décline ces leçons chaque jeudi dans un ensemble de conférences au théâtre des Mathurins, en partenariat avec Le Point.fr.

Le dernier volet de ces "Jeudis philo" ouvre la perspective de ces "leçons" sur la philosophie du temps présent. Où en sommes-nous ? Que peut la philosophie contemporaine ? Celle-ci, estime Luc Ferry, doit continuer de "penser ce qui est" et définir ce que pourrait être la vie bonne pour les mortels. Or, ce qui est, aujourd'hui, c'est la fois la mondialisation, qui a engendré au XXe siècle une formidable déconstruction des valeurs traditionnelles, mais aussi ce que Luc Ferry appelle la "révolution de l'amour". L'amour n'est plus seulement une passion parmi d'autres, mais un principe de sens, le seul vrai dire qui oriente désormais nos vies de manière décisive. Le Point.fr vous propose un avant-goût de cette leçon avec un extrait du volume correspondant de la série "Sagesses d'hier et d'aujourd'hui" :

"Les Jeudis philo de Luc Ferry", cycle de 10 conférences, chaque jeudi 12 h 30 au théâtre des Mathurins : 36, rue des Mathurins, 75008 Paris.

Tarif unique : 23 euros, tarif moins de 26 ans : 8 euros. Abonnement pour assister aux 10 conférences : 150 euros. Réservations ouvertes au 01 42 65 62 53 ou l'adresse lementine@theatredesmathurins.com.

Le ministère italien de la Santé a annoncé samedi deux nouveaux cas de coronavirus dans l'entourage d'un homme de 45 ans récemment revenu de Jordanie.

Le ministère italien de la Santé a annoncé samedi deux nouveaux cas de coronavirus, proche du SRAS, dans l'entourage d'un homme de 45 ans récemment revenu de Jordanie lui-même atteint de cette maladie. Le ministère a dit avoir été informé par la région toscane que ce sont "une petite fille de deux ans, membre de la famille du premier malade, et un de ses collègues de travail".

Selon le ministère, ils "ont contracté une forme clinique d'infection respiratoire qui ne paraît pas grave pour le moment", mais ils ont été placés sous "surveillance sanitaire, car ils ont été en contact étroit avec le premier cas de contamination par le coronavirus MERS".

Le premier cas de coronavirus MERS avait été annoncé vendredi par le ministère, qui avait souligné que le patient, hospitalisé avec une forte fièvre, de la toux et des problèmes respiratoires avait été "isolé" et que son état était "bon". L'homme, un étranger de nationalité non communiquée résidant en Italie, a séjourné pendant 40 jours en Jordanie auprès d'un de ses fils atteint d'une forme de grippe non précisée.

Selon un bilan de l'OMS datant de vendredi, les pays du Moyen-Orient sont les plus touchés par ce virus baptisé MERS CoV (Middle East Respiratory Syndrome Coronavirus) avec en particulier 25 décès enregistrés en Arabie saoudite sur 30 dans le monde. Le premier décès dû ce virus baptisé remonte, d'après l'OMS, juin 2012, en Arabie saoudite. D'autres cas ont été enregistrés au Qatar, en Jordanie, en Tunisie, aux Émirats arabes unis ainsi qu'en Allemagne, en Grande-Bretagne et en France où un patient est mort le 28 mai.

Il y a dix ans, la pandémie de SRAS (syndrome respiratoire aigu sévère), partie de Chine, avait causé la mort de plus de 800 personnes et (...)

Après qu'elle se soit occupée de faire quelques courses en compagnie de sa cadette Seraphina (4 ans), , 41 ans, a emmené cette dernière et sa grande soeur Violet (7 ans) une fête d'anniversaire avec son mari . Nulle trace par contre du petit Samuel, seulement âgé d'un an. Un week end placé sous le signe de la famille pour l'un des couples les plus mignons et les plus casual d'Hollywood.

Jennifer Garner n'est pas non plus qu'une manan. On la retrouvera bientôt sur grand écran dans The Dallas Buyers Club de Jean-Marc Vallée avec Matthew McConaughey et Jared Leto puis Draft Day d'Ivan Reitman avec Kevin Costner. Après Argo et À la merveille, l'acteur de 40 ans est attendu dans Runner Runner de Brad Furman avec et Gemma Arterton. Côté réalisation, il adaptera pour la seconde fois après Gone Baby Gone, un roman de Dennis Lehane, Live By Night.

JUSTICE - L'homme d'affaires, Bernard Tapie, affirme dans un entretien au Journal du Dimanche que «si l'on découvre la moindre entourloupe» dans son dossier, il annulera l'arbitrage...

L'homme d'affaires, Bernard Tapie, affirme dans un entretien au Journal du Dimanche que «si l'on découvre la moindre entourloupe» dans son dossier, il annulera l'arbitrage. «Si on découvre la moindre entourloupe, le moindre dessous de table ou quoi que ce soit d'anormal, alors dans la seconde, mon initiative, j'annule l'arbitrage», prévient-il.

Interrogé sur le rôle joué par , président de l'UDI et son ancien avocat dans les années 1990, Jean-François Copé, président de l'UMP et auteur d'un projet législatif favorable l'arbitrage début 2007, ou Claude Guéant, ancien secrétaire général de l'Elysée sous , il assure que «pas un centime» ne leur a été versé.

Pierre Estoup mis en examen

L'ancien haut magistrat Pierre Estoup, l'un des trois juges du tribunal arbitral qui a décidé d'octroyer 403 millions d'euros Bernard Tapie dans le litige l'opposant au Crédit Lyonnais, a été mis en examen pour escroquerie en bande organisée, les juges le soupçonnant d'avoir favorisé, avec d'autres, un arbitrage en faveur de l'homme d'affaires.

Cette mise en examen a été décidée dans le cadre de l'enquête sur le volet non ministériel de l'affaire Tapie/Adidas ouverte en septembre 2012 pour «usage abusif des pouvoirs sociaux et recel de ce délit au préjudice du consortium de réalisation» (CDR), gérant le passif du Lyonnais.

FAITS DIVERS - Le couple s'est défenestré de son appartement situé au deuxième étage...

Un couple, âgé d'une vingtaine d'années, a été gravement brûlé dans l'incendie dimanche matin de leur appartement Saint-Martin-d'Hères, près de Grenoble, a-t-on appris auprès des pompiers.

La jeune femme âgée de 19 ans et son compagnon, qui souffraient de brûlures au 3e degré sur près d'un tiers du corps, ont été transportés l'hôpital de Grenoble. Le jeune couple s'était défenestré de son appartement situé au deuxième étage d'une maison afin d'échapper l'incendie, qui s'est déclaré vers 7H30 du matin.